L’écorchure

Cette mosaïque se présente comme une peau ou une écorce qui d’un côté est intacte et tout à coup, est traversée dans une diagonale par une blessure, une écorchure provoquée par le métal acéré. Le sang ou la sève s’écoule mais une cicatrice se forme. La deuxième partie est donc différente de la partie intacte mais se reconstruit bon an, mal an.

Cette écorchure qui traverse la mosaïque de part en part est bien sûr la métaphore d’une blessure de l’âme provoquée par un accident de la vie. Celui-ci bouleverse tout mais il y a l’espoir que tout se reconstruise mais rien ne sera comme avant.

Cette mosaïque peut s’accrocher de quatre façons différentes, la blessure étant alors plus ou moins visible.

Smalts, pierres, acier

 

 

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Plaque funéraire

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Sépulture de Michel Marcenac